• Un "Secret" bien ou par trop étalé, mais maladroitement surtout, votre illustre serviteur n'en demeure non moins illustre profane en cette fenêtre, en ce site, dont je n'arrive à en situer, voire à en maîtriser toutes les potentialités (techniques), je souffre de cette indigence bien involontaire, pas de celle de maintenir ce fil suspendu enre nos claviers et nos êtres

    Vraiment je ne sais comment bien présenter les choses, visuellement au moins s'entend, et dès que possible j'aurai certainement plaisir à ne faire tel affront de forme, je tenais à te - à vous dire cela

    c fait !

     


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  • Grand est ton secret
    Mais bien majestueux, est ton silence
    Rien ne se perd, rien ne se crée
    Voilà..voici, la seule science


    Il s'écoute avec le cœur
    Il va et vient au gré des jours
    Et se chanterait même en chœur
    A d'insondables carrefours


    Secret de ton âme
    Celui là fait de velours et de soie
    Et qui en son épique trame
    Se chuchote à part-soi


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  • En gagner.
    Mais de l'argent ! coûte que coûte en gagner..et seulement ça, il n'y a que ça de vrai, de sonnant de trébuchant,
    l'argent, une  nouvelle mais non moins tenace tendance qui aurait cours..qui ferait courir et tourner la tête au monde, voilà la philosophie de la vie, une religion qui se passerait de mode ou qui tout simplement les surpasserait toutes !
    Voici..le nouveau leitmotiv à devoir placer au devant d'inamovibles lorgnettes, sans quoi on serait un « looser », littéralement un perdant.
    Même qu'on serait pour toujours un perdu, un moins que rien
    bien ou mal foutu mais en un certain sens, foutu sur toute la ligne..

    bon à jeter à la poubelle ou tout juste bon à être recyclé, ce qui n'est gagné non plus ni du reste réjouissant.Sans argent l'on ne serait ni ne vaudrait rien donc même que c drôlement grave ça ou que c désespérant si l'on n'y prend garde : se risquer à – socialement, mentalement..et monétairement..se consumer, s'oublier et en un mot à se laisser mourir en pure perte sèche
    bilan désastreux ?! Imparable et mortel  classement à ‘‘Pertes et Profits'' ;
     la clé sous le paillasson ? la clef de qlq palpable bien (tout et seulement matériel) que l'on n'aurait eu sa vie durant !? une clef de voûte que l'argent, situant, soutenant et structurant la commodité sécurisante d'un édifice matériel plus que la vie en elle-même ?!
    entre-temps nous saurions être de nouveaux ‘'SDF''..mais du bonheur précisément ce qui serait non moins doublement mortel.
    à moins, mort pour mort, et au passage de ce..''psycho- social'' Styx bien délicat, de faire don de soi et au passage amasser qlq menue monnaie devant telle ‘'urgence vitale'', faire don d'organe..une trouvaille ?
    ce serait, toujours, au moins ‘'çà'' de gagné, en plus de la ‘'moralité et grandeur'', des fois certes marchandée-monnayée, de ce geste bien discrétionnaire plus que d'humanité en certaines situations

    Ça sauverait, en plus de la vie d'une autre personne, l'honneur au moins, mais pour autant  n'exclurait de l'horreur, tel commerce d'organes, de corps..plutôt que don de soi


    L'on réduirait toute autre chose donc ?  toute autre alternative, toute  motivation ou quête..et celle du bonheur précisément ;
    le bonheur..même à temps partiel, cela doit bien exister non ?
    que non ! ou que si, pardi ! sanctionnerait-on par la grâce de qlq tropisme bien pensant devant l'éternel 
    En dehors de l'argent, point de salut : c tout pesé-emballé, c prêt à l'emploi..
    oui ! à l'emploi, mais précaire.
    Alors  faisons les comptes, l'argent..à n'importe quel prix; du cash sinon ce serait le clash et l'affrontement – ou des ‘'klach'' et avec, au delà de bien des barons à la tête, des  tas de marchands d'armes qui s'en frottent les mains, c que ça travaille sans relâche et toujours plus en ces zones et circuits de jeux de la mort bien huilés et hélas bien transfrontaliers : qui donc le leur reprocherait puisque l'argent résume, permet et condense tout, l'argent n'importe comment, n'importe où ! l'argent sans couleur, sans odeur, sans oreilles :  celui du ‘'silence des agneaux''..

    L'argent rend (-il) (plus) heureux ?

    Vive la ''gagne'' ?
    Non, sans rire, quel humour  cette idée bien creuse
    ..mais une question à creuser !?
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  • Rien à voir avec ce qui était prévu, ce texte se voulait discret, muet presque - alors? ne rien dire? ne rien écrire, c peut être mieux non!? soit! je n'en dirais mot alors - et c bien fait, c tant mieux pour chacun !?
    Et à commencer, pour moi qui reste là où je suis, avec mes mots en bloc avec moi..tout enfouis en mon esprit, en mon cœur..en moi, et le blog(g) tout vide et il y'a toi - et puis, à travers toi, il y'a tous vous autres..tous ces autres "obligés" insondables anonymes lecteurs..et aussi, les autres blogs, il en est même suffisamment - ou que trop alors ajouterait qlq excessif avis,- alors qu'il en manquera toujours des blogs à découvrir, des messages à lire, des virées à entreprendre, des choses utiles ou futiles bien ou mal dites ou exposées à faire, des photos, des vidéos, de suggestives choses à voir, ‘'z'yeuter'' ou apprécier et d'autres, inattendues à la limite de la ‘'morale, de l'éthique, voire de la bienséance'' ; ce qui est très relatif ou en tout cas à (re)définir, je sais..
    Voilà donc de bien illusoires limites, du reste, quant à freiner cette faculté donnée, permise et surtout accessible pour tout un chacun - sous couvert d'anonymat de base,- quant à y aller, qui de sa verve, qui de son imagination ou de son outrecuidance en un déluge de libertés jusqu'alors moins (virtuellement)popularisées ( pour le moins)..Et chacun y va de sa hargne ou de ses doutes..
    Mais ces situations, qu'on estimera, sans nul procès d'intention et sans opprobre en tout cas, pour le moins  porteuses car amorcées en leur élan de liberté sans mesure, lancées en une foule de miroirs de ce qui, pourrait-on dire, constituerait l'image enfouie en nous autres ‘'bloggeurs-lecteurs'' amassés derrière un écran..l'écrit reste un miroir..même des fois un prisme déformant, mais..

    Et par delà tant d'écrans, nous voilant la face ou survolant notre seule  réalité quant à elle bien autrement établie, pour la plupart, cette image donc qui nous collerait à la peau..de cette virtualité sans fard (ou avec!) et qui nous fait ouvrir des voies à établir des passerelles..ou vecteurs entre les êtres, ce sont là bien des initiatives, bien des créations..qui interpellent et quetionnent plus qu'elles ne gargarisent des prêt-à-penser ou consommer..et il n'est de rcette miracle au fond..

    Image qui s'en trouverait être assurément bousculée ou même effleurée des fois sans ménagement quand elle ne fait l'objet d'un habillage poétique ou non moins agréable au regard ou à l'ouïe..ce qui n'est pas négligeable non !?
    et dire que je ne devais rien écrire car je n'aurais eu rien à dire - alors je n'en rajouterai mot..ce qui serait non moins parlant!

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  • Pour en apprendre de moi..

    au travers de ce que je te dis - et de ce que tu peux en penser et dire..

    je me laisse aller à écrire et balancer ces mots sans objet..ces pensées sans cause..mais en faut-il ? ces tournures..comme ces phrases balancées en une parcimonie non feinte..par la faveur d'un  vent d'ingéniosité ?..de générosité ?..de curiosité..

    curiosité d'en dire..d'en savoir davantage..?!..

    qu'en sais-je..

    ce vent d'évocation qui souffle en nous..qui balaie les appréhensions..qui fait dans la ''pollinisation'' des idées..des mots..des distances..des liens..des êtres..

    ce vent qui va et vient..en son ciel insondable..hachuré de moments de béatitude toute bienvenue ou d'émerveillement insoupçonné en ce ciel sans fard..

    ce vent..

    ce temps..

    et..précisément  en cet espace de liberté en marge..factice..mais tout compte fait bien irréductible..permet des éclosions d'imagination solidaires..

    ou des reproches d'à-propos décalés ou rejetés..car futiles ..

    futiles, comme le seraient ces poèmes non aboutis..non éclos en ton regard..non sertis en ta bouche..

    cette bouche qui cisèle les mots, qui leur donne le ton..la couleur..la verve..la profondeur..la saveur..la force ou la douceur..

    ou qui carrément les rejette..car amers..car insolubles et inconsommables..

    ces mots masqués..diffus comme cette poussière invisible sous le soleil de ta critique mais présents en toi..

    ces mots..

    ceux à venir notamment,

    je les laisse s'agencer à leur bon vouloir..

    à leur guise..

    peu importe s'ils séduisent..s'ils déplaisent..

    ou s'ils arriveraient à émouvoir

    c'est qu'ils ont les défauts de leur seule modicité..

    mais ils sont à moi

    et dès lors, ils sont désormais tiens..

    ils nous appartiennent autant qu'on appartient à leur évocation..à leur force de leur foi

    ..à leur subtilité..

    ou à leur humble nécessité..

    voire, à leur inutilité apparente..

    pour en apprendre de moi

    et ainsi mieux en savoir de toi..

    pour apprendre..

    pour comprendre..

    apprendre ?

    comprendre?

    ..mais quoi ?

    les fondements de nos rêves..

    les piliers de nos aspirations..

    les élans de nos oublis..

    les aléas de nos chemins

    et de nos êtres..

    les requêtes..de nos quêtes..

    de ces quêtes balancées telles des requêt..pardon! lancées telles des roquettes..de vie

    si multiples

    et pourtant si anodines,

    ou si anonymes..

    je me dis qu'ils sont à venir

    ces mots..

    rares

    comme la pluie en ce désert

    précieux

    comme une oasis sans nul repère

    comme surgie de nulle part

    ils sont à venir, ces mots..

    d'émoi

    de moi

    oui !  ces mots d' "e"_moi

    ..oui tous ces mots sortis de moi..

    à toi servis

    et tout sertis

    à toi..e_moi

    ils font partie du passé, du présent..de l'avenir !..


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